L'artiste sera présent au vernissage de samedi./ Photo S. L L.

Un nom à l'image de ses toiles, Jean-Marie Galigani, artiste peintre, vient d'exposer certaines de ses œuvres au restaurant La Laurélie à Lourdes. Fervent adorateur de la période Renaissance italienne, il s'en inspire pour imaginer et créer ses toiles. Originaire du Nord, Jean-Marie Galigani a étudié aux Beaux-Arts avant de devenir décorateur durant quarante ans à Paris. Enlumineur, il exerce sur le mobilier avec passion et professionnalisme, redonnant lumière et dimensions aux divers meubles en bois. L'artiste travaille la peinture à l'huile avec laquelle il donne vie aux personnages, statues et naïades. Ses toiles sont uniques et imaginées tout en étant imprégnées d'un souffle de cette période du XVe siècle en Italie. Les enluminures, fresques et tableaux des grands maîtres italiens fascinent l'artiste tels Giovani Bellini, Sandro Botticelli, Fra Filippo Lippi, Domenico Veneziano et tant d'autres qui ont laissé des œuvres très hautes en couleur. Jean-Marie Galigani vit à Lourdes depuis huit ans et devrait exposer au Palais des congrès début 2011.

Un vernissage au restaurant La Laurélie est prévu ce samedi 21 août, à 19 h 30, une occasion de rencontrer l'artiste et de découvrir ses tableaux.

Contact : 06.26.17.69.37, La Laurélie, et J.-M. Galigani, 05.62.46.33.83.

Un artiste passionné./Photo S.L. L..

Le Palais des congrès de Lourdes a reçu Didier Terrail pour le vernissage de son exposition photos. L'artiste a conquis le public par la beauté des paysages qu'il a immortalisés sur le thème « Le gave de Pau, des grands cirques glaciaires à Lourdes ». Originaire du Gers, Didier Terrail fait de la photo semi-professionnelle depuis trois ans. Amoureux de la nature et des Hautes-Pyrénées, il a photographié les cirques glaciaires mais aussi de nombreux sites et des animaux pris sur le vif qui font la richesse de ce département. Didier Terrail est un chasseur d'images toutes aussi grandioses les unes que les autres. Il explique la formation des glaciers alliant ainsi la géographie à l'art, un excellent moyen d'apprendre en y associant le régal des yeux. L'artiste dit avoir encore beaucoup de clichés à prendre sur le département et envisage la continuité de son œuvre dans nos montagnes. Il souhaite que sa passion se transforme en une activité principale et propose des reportages photos. L'exposition se tiendra jusqu'au 18 août, de 15 h 30 à 19 h 30. Pour découvrir et prendre contact : www.dtc-pyrenees-editions.com

Belle affluence lors du vernissage./ Photo SLL

Un beau succès et une ambiance fraternelle lors du vernissage de cette seconde exposition à la toute récente galerie Sainte-Véronique, aux Sanctuaires. De nombreuses personnes ont pu découvrir des tableaux, photos et modelages sur le thème « Communiquer », réalisés par des enfants et des adultes de l'Office chrétien des personnes handicapées.

La mission principale de l'office est de permettre l'intégration des handicapés dans la société et l'église. Une mission qui reflète le succès avec pour résultat une communication établie par le biais de l'expression artistique. « La vie se mesure par la communication », une phrase prononcée par le père Brito et applaudie par les participants.

Le message de cette exposition, écrit en six langues, s'adresse à tous : « Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas parler qu'on n'a rien à dire ».

Les artistes sont heureux de partager leurs travaux durant tout le mois d'août, dans cette galerie porteuse d'espoir et de vie.

Inauguration et bénédiction aux Sanctuaires avec Mgr Perrier./ Photo S. L. L.

Le patrimoine artistique mis à l'honneur par l'ouverture de la nouvelle galerie Sainte-Véronique, située au centre d'informations des Sanctuaires. Inaugurée et bénie dernièrement par Mgr Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes, en présence du père Brito, recteur des sanctuaires, elle a fait découvrir une première exposition photos sur le thème de Lourdes et des Sanctuaires. La galerie Sainte-Véronique (patronne des photographes) ouvre à tous une porte de la « vraie image » dans un endroit stratégique et international.

L'association Créative a présenté les clichés du concours Les 24 heures numériques qui s'était déroulé en août 2009, ouvert à tous les photographes, et dont le gagnant fut Romain Buisson. « La photo se substituera au regard, elle le rend curieux, inventif et aide à le renouveler. Il faut souhaiter qu'une réalité corresponde à ce pour quoi elle a été faite », prononce Mgr Perrier.

L'association Créative est présidée par Alex Wright, collaborant avec Laurent Etcheverry. Tous deux photographes, sont les témoins de scènes quotidiennes immortalisées au travers de clichés riches en émotions et en dimensions. Catherine Albrech, responsable du centre d'informations et de la galerie, accueille les projets et en particulier ceux représentatifs de Lourdes et le domaine des Sanctuaires. Tous les artistes sont les bienvenus, peintres, sculpteurs, dessinateurs, trouvant l'inspiration dans la ville mariale. Contact catherine.albrech@lourdes-france.com ou www.assocreative.fr

Pierre Carrey et une lectrice./ Photo S.LL.

À l'occasion de la sortie du livre de Pierre Carrey « 100 ans de Pyrénées, légendes du Tour de France, 90 histoires insolites enfin dévoilées », aux éditions Grimal, le jeune journaliste indépendant, originaire de Pau, qui a été stagiaire à « La Nouvelle République » durant une année avant d'étudier le journalisme à Bordeaux et qui actuellement collabore avec le journal « Libération », pour lequel il écrit des articles, est aussi passionné par le cyclisme. Il voyage à travers le monde à la conquête de tous les événements sportifs dans ce domaine. Son œuvre retrace les histoires incroyables du Tour. Pour permettre une lecture libre, il raconte une histoire par an. Un travail de recherches pour lequel il lui a fallu beaucoup de patience afin d'aboutir, au terme de deux années à temps complet, à l'édition de ce livre.

Au travers d'histoires surprenantes, l'œuvre dévoile au lecteur une vue différente du Tour. L'aventure humaine se trouve révélée par les différents personnages, protagonistes ou spectateurs de l'histoire du Tour.

Le livre, comptant 250 pages, bénéficiera d'une traduction en anglais l'année prochaine